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Frank Beermann

2022/23

TOULOUSE, Opéra national du Capitole, RUSALKA (New production by Stefano Poda, 6/9/11/14/16.10.22
with Anita Hartig, Piotr Buszewski)
Press: Ce torrent de sentiments prend chair dans la musique trs expressive de Dvorak, portée par la direction enflammée de Frank Beermann la tte de lOrchestre du Capitole. Une formidable intensité la hauteur dune  Rusalka  dexception, qui devrait longtemps marquer les esprits et faire battre les curs. (La Depeche, 12.10.22)
Pour lentrée de Rusalka au répertoire du Capitole, Christophe Ghristi a fait appel un habitué des lieux : la tete dun orchestre aux couleurs toujours enivrantes, Frank Beermann confirme un authentique métier de chef de théatre, exaltant les sortilges instrumentaux, soignant la précision du détail, variant allures et atmosphres, si bien que le discours semble en permanence relancé.
(Diapason, 12.10.22)
Frank Beermann musiziert mit dem Orchestre national du Capitole nicht nur agogisch jene symphonische Sogkraft aus, die Dvorak in die Wagner-Nachfolge stellt, sondern besitzt zugleich auch die dezidiert moderne, rhythmische Schärfe. Rusalka wurde schließlich 1901 nur 3 Jahre vor Janaceks Jenufa aus der Taufe gehoben. Auch das hört man nun in Toulouse. Das 19. und das 20. Jahrhundert kommen sich im Spätwerk des böhmischen Romantikers sehr viel näher, als wir bisher zu wissen glaubten. (Opernwelt, 12/2022)

TOULOUSE, Opéra national du Capitole, TRISTAN UND ISOLDE (Production of Nicolas Joel, 26.2./1.3./4.3./7.3.23
with Sophie Koch, Nikolai Schukoff, Matthias Goerne, Anaik Morel)
Press:
Trs attaché la ville de Toulouse, le chef allemand Frank Beermann mne décidément lOrchestre national du Capitole vers les sphres. Chef aussi bien symphonique que lyrique, il parvient capitaliser ces deux aspects de son talent pour offrir une interprétation saisissante et majestueuse de la musique de Wagner. Le vaste Prélude initial offre une exposition au tempo solennel et ralenti, qui sollicite lauditeur dans tous ses retranchements, son affectivité pour mieux le saisir ensuite bras le corps tout au long de la représentation. Le feu couve sous la glace, la ferveur succde aux instants plus expressifs et intimes. Son attention aux chanteurs est extrme. Tous les pupitres de lorchestre sexpriment pleinement et sans réserve avec une place toute particulire réservée la présence du cor anglais magnifiée par Gabrielle Zaneboni, qui en solo habite le début de lacte III de toute sa désolation.
Un triomphe sans restriction vient saluer lensemble des protagonistes du spectacle, lOrchestre au complet se trouvant lui-mme sur scne autour de Frank Beermann, moment suffisamment rare pour tre souligné. (Olyrix, 28.2.23)
Frank Beermann tient solidement la barre de cet imposant vaisseau musical, emportant lOrchestre national du Capitole de Toulouse, les churs et les chanteurs dans une vision ardente du drame, lui donnant une ampleur majestueuse, depuis le Prélude au tempo ralenti, aux silences oppressants longuement marqués, jusqu la bouleversante Mort dIsolde. Lon se trouve pris dans le souffle, le flux et le reflux puissants de la musique, submergé par ses insoutenables et formidables climax, alternant avec des moments apaisés dune grande plénitude. Tour tour sombre et incandescente, ardente et douloureuse, elle se révle aussi dans de superbes solos : le silence sculpté par le chant doucement expressif du cor anglais joué par Gabrielle Zaneboni lacte III, la voix profonde de la clarinette basse qui fait écho celle de Marke, la finesse du hautbois (Resmusica, 4.3.23)
Electrifying conductor Frank Beermann. (Opera Today,6.3.23)
Der grosse Wagnerdirigent.
Wie dieser große Experte der Exegese des Bayreuther Meisters die harmonischen Scharniere schärft, in jedem Takt das unbändige Sehnen und die emotionalen Extreme auslotet, indem er die Agogik ganz natürlich im Fluss der unendlichen Melodie auslotet das hat Wagner-Weltklasse. Beermann schenkt den Sängern nichts, er lässt es machtvoll Brausen, lotet mit den Streichern aber auch alle hell-dunklen-Farbwerte aus, das Vorspiel zum dritten Aufzug ist ein Paradebeispiel einer erdigen Musik von unten.
Gleichermaßen zu nutzen weiß er die genuinen französischen Qualitäten des Orchestre national du Capitole, wenn die Übergänge von Englischhorn zur Oboe so traumverloren gelingen wie an diesem Abend, an dem sich die Inszenierung von Wagners Wunderwerk immer mehr heraus aus dem Orchestergraben entfaltet. (Concerti, 27.2.23)
Nous retrouvons donc Frank Beermann la tte dun orchestre national du Capitole lumineux. La balance est posée demblée en faveur des vents ; cest un parti pris audacieux qui permet deux choses : la mise en avant des pupitres de bois (le cor anglais au III est de toute beauté, le hautbois dun bout lautre raffiné), mais aussi une sorte de relégation au second plan des cordes. Ne nous méprenons pas toutefois ; un orchestre wagnérien, qui plus est dans Tristan, ce sont dabord les quatre pupitres de cordes, sans lesquels le feu ne prendrait pas dans lorchestre, sans lesquels point de tempte, de houle et divresse, point de duo damour ni de Liebestod. Cest vrai et pourtant Beermann sait mettre sous le boisseau le feu de lorchestre quand il sagit de privilégier la scne, quand il sagit daider les amants transcrire de la faon la plus audible et la plus intelligible possible lardeur de leur passion. Cest bien grce cette direction dorchestre dune telle intelligence quaucune voix sur scne na forcer lexcs pour franchir la rampe. Le prélude du I, qui tarde se lancer aprs deux sonneries inopportunes de téléphone portable dans la salle, annonce la couleur. Le tempo est ralenti, extrmement. Chaque note, accord, se détache, devient perceptible et prend sens. On aimerait que la marée orchestrale ne cesse pas et nous engloutisse nous aussi. Les ovations pour lorchestre au complet sur la scne au baisser de rideau, exceptionnels Toulouse, ne sont que méritées. (Forum Opera, 28.2.23)
Frank Beermann est le chef idéal. Sans livresse ou les élans qui vous submergent, mais avec un immense métier de chef dopéra qui connat son Wagner, maintient en permanence léquilibre entre fosse et scne, guide la fois lexcellent Orchestre du Capitole (venu saluer au complet sur scne, tradition venue de Bayreuth) et des chanteurs qui nont rien craindre avec un capitaine aussi matre de son vaisseau. Un artisanat au sens noble. (Le Figaro, 28.2.23)

Pfingstfestival Bad Saluflen (27/29.5.23 with Nordwestdeutsche Philharmonie)
Westfälisches Musikfest HAMM (28.5.23, Mahler 1 with Nordwestdeutsche Philharmonie)
Gezeitenkonzerte Ostfriesische Landschaft, 4.6.23, with Matthias Kirschnereit & Nordwestdeutsche Philharmonie)
HERFORD Open-Air (8.6.23, Program see 11.6.23)
Westfälisches Musikfest HAMM (11.6.23 All Rule Britannia with Nordwestdeutsche Philharmonie)
Westfälisches Musikfest HAMM (21.6.23, All Mozart with Matthias Kirschnereit & Nordwestdeutsche Philharmonie)

2023/24
MINDEN, Stadttheater, PARSIFAL (New production by Eric Vigié, with Nordwestdeutsche Philharmonie,
8/10/12/15/17/20.9.24)

2021/22

BONN, World Conference Center, Beethovenfest, Liszt-Beethoven Kantate (with Beethovenorchester Bonn, 21.8.21,
Radio transmission on WDR 3 on 10.1.22, 20.05h)
LAUSANNE, Opera, Nozze di Figaro (New production: 5-14.11.21)
TOULOUSE, Theatre du Capitole, Zauberflöte (New production: 19-30.12.21)
Press: Cest le sang de Mozart qui coule dans la fosse, grce la direction de Frank Beermann. Ce chef au métier imparable ne néglige aucun détail, fait avancer le discours avec une totale liberté, mais aussi des variations dintensité et dallure qui épousent les péripéties de lopéra. Quant lOrchestre du Capitole, mme dans cet effectif chambriste qui ne pardonne rien, il offre un festin de saveurs (ces bois !) dont bien peu de formations franaises sont aujourdhui capables.
(Diapasonmag.fr, 24.12.21)
Dans la fosse, lOrchestre national du Capitole se caractérise par un délié de jeu sensible, une attention aux détails pour les vents et une rondeur sonore pour les cordes que la direction chatoyante de Frank Beermann et les musiques et sons additionnels discrets ! de Joan Cambon, permettent daffirmer sans complaisance. (ResMusica, 23.12.21)
Frank Beermann propose une direction musicale limage du plateau : puissante et trs contrastée. Tout commence par un tempo trs lent, filé et nourri en intensité, pour dautant mieux contraster avec la rapidité suivante (coupant mme les silences aprs les résonances). LOrchestre national du Capitole déploie ses forces et grandes délicatesses en tutti, ainsi que les qualités de solistes tous les pupitres, présentant une version musicale évidente comme les beautés de cette partition.
(Olyrix, 21.12.21)
ATHENS, Megaron, Strauss-Horn Concert No. 2 & Schumann 3 (with Stefan Dohr & Athens State Orchestra, 11.3.22)
MINDEN, Theater, Wagner-Gala (with Nordwestdeutsche Philharmonie, 26.3.22)
TOULOUSE, Halle aux grains, Mozart Piano Concert No. 21 & Bruckner 7 (with David Fray & Orchestre national du Capitole de Toulouse, 23.4.22)
Klassiksommer HAMM, Haydn-Schöpfung (with Nordwestdeutsche Philharmonie, 5.6.22)
HAMBURG, Elbphilharmonie, Schönberg-Pelleas und Melisande/Ravel-La Valse u.a. (with Philharmonisches Staatsorchester Hamburg, 12.6. - 11h /13.6.22)

2020/21

TOULOUSE, Theatre du Capitole, Elektra (New production: 25.6. - 4.7.21)
Press: Ce que nous avons aimé dans la direction de Frank Beermann, cest quil a pris position : ne rien céder au torrent de haine et damour, de sang et de chair, en prendre et en revendiquer une part prépondérante. Hommage lorchestre qui sest tenu la hauteur dune partition si ambitieuse. (Forum Opera, 27.6.21)
Frank Beermann se tomó su tiempo en algunos pasajes, sin que por ello su dirección tuviera ningún déficit ni en potencia sonora ni en energía dramática. Con la orquesta, la excelente formación del Capitole, situada en el escenario tras un telón translúcido, el director alemán subrayó innumerables detalles de la frondosa escritura straussiana, equilibrando acentos hirientes y efusiones líricas en una lectura que fue subiendo de temperatura hasta un final cataclísmico.
(Opera Actual, 30.6.21)
Briseuse de digues en chef, Ricarda Merbeth est aujourdhui la titulaire prodigieuse dun rle quelle investit et quitte avec une santé inentamée, celle-l mme qui a certainement conduit Frank Beerman loption inédite dune lecture dont les tempi imposants (on avoisine les deux heures sans mme remarquer que la version toulousaine sappuie sur une orchestration réduite de la main du compositeur ) sont lexact opposé des lectures haletantes de Karl Böhm. Ce discours sombrement puissant permet lhérone de faire systématiquement exploser de rutilants aigus au moyen denivrantes consonnes (Frrreun, Orrreste,).
(ResMusica, 30.6.21)
En forme dapothéose, la direction musicale de Frank Beermann, déj présent Toulouse en janvier 2020 pour un Parsifal remarqué, ose la nuance et les plus vifs déploiements de force sans jamais abasourdir lauditeur et les chanteurs. Toute de souplesse, dune précision qui ne vient en rien infléchir la puissance expressive de la partition de Richard Strauss, il amne lOrchestre du Capitole au plus haut de ses compétences, rayonnant de fiabilité et tout vibrant des intentions du chef.
Le rideau qui dissimulait pour partie lorchestre se lve un peu en amont des accords finaux pour mieux dévoiler la phalange toulousaine dans toute sa splendeur. Avec un systme décrans installés dans la fosse dorchestre et relayant le chef, aucun décalage nest constaté entre le plateau et les instrumentistes : une performance technique pour le thétre également.
(Olyrix, 27.6.21)
HAMM, Klassiksommer, Alfred-Fischer-Halle, Fidelio in concert (10.7.21)